Accueil
Positions de Fondact
Positions de Fondact
Position de Fondact n°4, exprimée le 14 juin 2011
Prime, dividende : comment en sortir ?
La sortie de crise place les entreprises qui ont la chance de la vivre face à la question du partage des profits avec une force nouvelle. D’un côté, les dividendes remontent, après avoir beaucoup baissé, sans doute, mais leur hausse n’en est que plus spectaculaire. De l’autre côté, la concurrence internationale oblige les politiques salariales à la mesure et les hausses de salaire paraissent, en comparaison, bien décalées.
Position de Fondact n°3, exprimée le 12 septembre 2010
La taxation de l’épargne salariale : une mauvaise piste
Que gagnerait l’Etat à supprimer les avantages fiscaux à l’épargne salariale ?
Les chiffrages avancés (IGF, Cour des Comptes) reposent sur l’hypothèse que la suppression des incitations fiscales ne modifierait pas les comportements. C’est évidemment faux, puisque sinon on ne voit pas pourquoi on aurait inventé un jour cet avantage. Ceci est d’ailleurs vrai de toutes les incitations fiscales et sociales. Le gain sera donc de toute façon inférieur aux chiffres avancés. Pour calculer le gain pour l’Etat, il faut entrer plus en avant dans le détail des dispositifs.
Position de Fondact n° 2, exprimée le 26 juillet 2010
Pourquoi Fondact défend l’idée que la participation ne peut qu’alimenter l’épargne salariale
Dans le cadre de la réflexion sur l’avenir des retraites, certains assureurs préconisent d’abonder les mécanismes de supplément de retraite (individuelle comme le PERP, ou d’entreprise comme le PERE art 83), dont ils ont la gestion, par des sommes provenant de l’intéressement, de la participation ou du compte épargne temps.
Fondact, l’association qui réunit tous ceux qui soutiennent les mécanismes de participation et d’intéressement, n’est pas favorable à cette idée.
Position de Fondact n° 1, exprimée le 15 juin 2010
Pourquoi Fondact s’oppose à toute nouvelle taxation de l’épargne salariale
Fondact, association d’entreprises qui défend et développe depuis 30 ans l’intéressement, la participation et l’actionnariat dans l’entreprise s’inquiète de voir poindre dans le débat sur les retraites un risque de préemption des mécanismes d’épargne salariale pour combler les déficits. Cette piste est une fausse piste.